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La Colline a des yeux

Synopsis et détails

Interdit aux moins de 16 ans

Pour fêter leur anniversaire de mariage, Big Bob Carter, un ancien policier de Cleveland, et sa femme Ethel ont demandé à leur famille de partir avec eux en Californie. Big Bob est sûr que faire la route tous ensemble les aidera à resserrer des liens familiaux un peu distendus.
Même si tout le monde vient, personne n'est vraiment ravi d'être là. Lynn, la fille aînée, s'inquiète du confort de son bébé. Son mari, Doug, redoute de passer trop de temps près de son beau-père. La jeune Brenda regrette de ne pas être allée faire la fête à Cancun avec ses amis. Et Bobby ne s'intéresse qu'aux deux chiens de la famille.
Une route désertique va conduire les Carter vers le pire des cauchemars.

The Hills Have Eyes

Distributeur Twentieth Century Fox France

RĂ©compenses 2 nominations

Voir les infos techniques

Année de production 2006

Date de sortie DVD 24/01/2007

Date de sortie Blu-ray 04/01/2008

Date de sortie VOD 01/01/2011

Type de film Long-métrage

Secrets de tournage 13 anecdotes

Budget 15 000 000 $

Format production 35 mm

Format audio DTS, SDDS, Dolby numérique

Format de projection 2.35. 1 Cinemascope

N° de Visa 115331

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La Colline a des yeux Bande-annonce VF

La Colline a des yeux Bande-annonce VO

Interviews, making-of et extraits

Alexandre Aja Interview. La Colline a des yeux

Wes Craven Interview 2: La Colline a des yeux

Wes Craven, Emilie de Ravin, Aaron Stanford Interview. La Colline a des yeux

Acteurs et actrices

RĂ´le. Doug Bukowski

RĂ´le. Ethel Carter

RĂ´le. Lynne Bukowski

RĂ´le. Brenda Carter

Critiques Presse

Le Journal du Dimanche

Cahiers du Cinéma

Critiques Spectateurs

Critique positive la plus utile

par jimmyc. le 16/09/2013

Il y a quelques années un petit film français faisait parler de lui, ce film s'intitulait " Haute Tension",film viscéral. Lire la suite

Critique négative la plus utile

par landofshit0. le 05/07/2006

Un film qui n'apporte rien de nouveau,tout les clichés du cinéma d'horreur sont dans ce film.Tout y passe du pécore américain,a. Lire la suite

Toutes les critiques spectateurs

Secrets de tournage

Remake d'un film de Wes Craven

Alexandre Aja signe ici le remake d'un classique du cinéma d'horreur datant de 1977, La Colline a des yeux de Wes Craven. En cela, le long métrage du jeune réalisateur français s'inscrit dans une tendance hollywoodienne consistant à reprendre des films d'épouvante emblématiques des seventies (Massacre à la tronçonneuse, La Malédiction ou encore Amityville, la maison du diable) et à en proposer une nouvelle version. Wes Craven, lui-même, a assuré. Lire plus

Remarqué pour "Haute tension"

C'est grâce à Haute tension, son film d'horreur made in France qui a été présenté au Festival du film indépendant de Sundance en 2004, qu'Alexandre Aja, seulement âgé de 25 ans, s'est vu courtiser par les pontes de Hollywood et confier ce projet de remake.

Un remake novateur

Le but n'était pas de copier le film original mais d'apporter une nouvelle vision au film. Alexandre Aja s'exprime à ce sujet. "Nous étions particulièrement enthousiastes à l'idée de pouvoir aller plus loin dans l'exploration des mécanismes de la peur et de développer les personnages. C'était l'occasion de s'intéresser à la nature humaine lorsqu'elle est confrontée à la plus extrême pression. Pour nous, ce film était l'étape parfaite après. Lire plus

13 Secrets de tournage

Dernières news

Je l'ai trouvé plutôt moyen, il y a de bonnes idées, mais les éternels comportements stupides des protagonistes enlèvent toute crédibilité.
Dommage, car il y a un bon potentiel.

PowerKing - Les Chroniques du

Non ca ne m'a pas dérangé plus que ça. Je suis un cinéphile bon public lol

Bub. Haut les flingues,

Excellent film d'horreur, car pour un remake, il reprend avec succès une histoire déjà réussie à l'époque de sa première adaptation. Personnellement, je ne me suis pas ennuyé, Mais la tension que j'ai ressentie en regardant cette version du film a été parfois plombée par la réactivité d'escargot arthritique des personnages. Alors que dans la rue, des loquedus se tapent dessus comme des bourrins pour une place de stationnement, ici, ils sont agressés par des gaziers presque incapables de bouger leurs fesses correctement et se font découper comme des quartiers de cochons à la boucherie. Le problème c'est qu'après de longues années à supporter des congénères stupides et hargneux on ne réagit plus de la même façon à la violence. Je ne suis peut-être plus bon public pour ce genre de film. Un loufting qui me braquerait avec une hache finirait certainement le crâne aplati par une masse de 5 kilos. J'attends vraiment un film d'horreur au-dessus du survival passif. Un scénario de vrais durs, contenant une scène, par exemple, où des hordes de zombies se feraient faucher par un mec furibard dans une moissonneuse batteuse blindée, pleine de scies disques qui tournent autour de sa carrosserie. Ca nous changerait des minus qui ne prévoient rien, sont toujours surpris et commettent toujours les mêmes erreurs à répétition.

Le jeu d'acteur et les scènes de gore grossières bien caricaturales aussi. On ne retrouve pas l'atmosphère et le charisme du premier en plus. Je l'ai vraiment détesté le second. Toi tu as l'air de ne pas tant le détester que ça par contre.

PowerKing - Les Chroniques du

C'est vrai qu'il est très différent du 1er. La réalisation n'est déjà pas la même, ça joue beaucoup.

Ah oui c'est encore un net cran au dessus de Jeepers creepers (même si les deux n'ont pas grand chose à voir je fais le parallèle parce que je t'ai vue posté une critique sur l'autre). C'est l'un des meilleurs film d'horreur de ces dix dernières années je trouve. Mieux que Détour mortel (le 1) que j'avais déjà trouvé vraiment pas mal. Et surtout, infiniment mieux que l'autre bouse de N°2.

Perso au bout de 10 min. j'ai mis que les scénes d'action et je regrette pas, ce film est d'une nullité sans nom.

Excellent film! super ambiance.

Ca vaut mieux que d'en être blasé. Comme beaucoup, j'ai été trop habitué à ce style de film, et j'envie les gens comme toi sur qui ils fonctionnent encore autant. Bien sûr, on apprécie toujours la qualité du film, mais la peur est de plus en plus absente. C'est triste !

PowerKing - Les Chroniques du

Je ne connais pas les originaux mais je vais m'y intéresser.

Moi franchement, j'aime les deux originaux, et celui ci est vraiment bien. Bon je ne cache que la scène de viol ma traumatisais la première fois, mais en le revoyant j'avoue que c'est partie tous seul, car si je compare avec le deux qui n'a rien à voir. Je vois quelque modification. On retrouve Le Boucher qui aime tranché a gorge de ses victimes (Fille ou Garçon) qui renommé PAPA ADES mais qui préfère la Reproduction. Je prend exemple sur la scène Missy. Dans la scène original il l'a regarde avec un air pervers et lui tranche la gorge. Dans le nouveau film c'est pareil sauf qu'il se sert d'elle comme excitant & Récipient.
La scène de reproduction du deux début et milieu, sont tout à fait horrible, d'où je préfère le premier Remake.

Tien mais qui voila. Mon ami Soisimple! Comme d'hab', mĂŞme note tu remarquera. Encore un bon petit film n'est ce pas? Je m'enchaine illico le 2.

PowerKing - Les Chroniques du

Remake de 1977, La Colline a des yeux renait au grand écran. Alexandre Aja réussi l'exploit d'un très grand film d'horreur riche en suspens, le tout en plein jour. Ce mentor du cinéma horrifique français met littéralement à mort les clichés. Il perfectionne sa réalisation à l'aide d'une base photographique irréprochable. Le désert du Nouveau Mexique nous apparait impénétrable et infini. De plus, le scénario est une pure merveille. Il s'approprie l'original signé Wes Craven, le rendant plus subversif et poignant. Immersion totale dans une panique collective où la cohésion entre les protagonistes est assez instable. Ces derniers se retrouvent accidentellement égarés au beau milieu d'un ancien site d'expérimentation nucléaire datant des années 50. Sauf que des gens vivaient là et peuplent toujours les collines. Revenus à une sorte d'état primitif quasi animal, les dégénérescences qu'ils constaterons sur les autochtones sont effroyables. Au cœur d'un paysage rocailleux et impitoyable, une lutte pour la survie est déclarée. Entre mise en alerte et confrontation, le choc sera brutal. Si le début du film est plutôt mollasson, le déroulement progressif des évènements nous entraine dans une spirale infernale, de plus en plus éprouvante. Pas d’effusion de sang si ce n'est quelques passages durement réalistes. Aja a cet incroyable don pour rendre la violence jouissive, c'est inouï. Le filtre caméra orienté western 80's est sublime. La lumière aveuglante ajoute un véritable punch à la mise en scène, et le jeu des acteurs est réellement saisissant. En claire, une référence incontestable du genre. A voir et à revoir. 4,5/5

Dans la continuité d'un Georges A. Romero en plus gore et avec des contaminés remplaçant les morts-vivants. Cependant comme beaucoup de films du genre c'est complètement manichéen. Les victimes des radiations sont cantonnés à des monstres sans humanité.
Mis à part ça, l'objectif du film est atteint. De l'angoisse, du sang, tout cela en plein milieu d'un désert américain avec une famille américaine modèle et malgré tout attachante.
3.5/5

T'as droit ici à une entrée en matière (sans vilain jeu de mots), pour le moins percutante et inqualifiable. Saligauds. C'est violent, ces crasseux sont plutôt déterminés. Ambiance lourde d'envie de vengeance, dans ces paysages secs comme l'intransigeance de ces intrus. Un film violent, tout simplement. 4.5/5.

La critique impeccable de Arnaud bordas :

Laissez tomber tous les remakes récents des grands classiques de l’horreur made in seventies (Massacre à la tronçonneuse, L’Armée des morts…) et leurs avatars édulcorés (Détour mortel), oubliez le gore racoleur et marketé aux petits oignons du père Eli Roth, n’essayez même pas de vous replonger dans le film original. La Colline a des yeux version 2006 va foutre tout le monde à l’amende et s’imposer rapidement comme le parangon du survival horrifique moderne. Croyez-nous sur parole. rarement on aura vu un morceau de pelloche aussi sauvage et jusqu’au-boutiste, qui nous rappelle à point nommé que le genre ne peut se passer d’une approche frontale et viscérale. En attendant de revenir sur ce film-monstre en compagnie de son réalisateur, et sans trop dévoiler les scènes d’anthologie de ce shocker survolté, voici donc un premier aperçu de la bête, qui sortira chez nous au tout début de l’été. Bienvenue dans un monde cruel…

Après s’être fait la main en tant que réalisateur de seconde équipe sur deux films de son père Alexandre Arcady (Là-bas… Mon pays et Entre chiens et loups) et sur un premier film plutôt discret (Furia), Alexandre Aja avait fait son petit effet avec le très glauque Haute tension, une production Luc Besson. Il devait d’ailleurs enchaîner en réalisant Banlieue 13, toujours pour le compte du mogul français. Mais le destin en a décidé autrement. Remarqué dans de nombreux festivals internationaux et bénéficiant d’une sortie en salles aux Etats-Unis, Haute tension attire les regards d’Hollywood sur le jeune réalisateur. Wes Craven, pape contesté et contestable du film d’horreur, contacte Aja et lui propose le remake d’un de ses titres de gloire, le survival La Colline a des yeux, tourné en 1977. Un film qui a fait illusion durant une bonne partie des années 80 mais qui ne représente plus grand-chose aujourd’hui, si ce n’est une sorte de gros Z ricain typique de son époque. En tout cas, si les remakes de Massacre à la tronçonneuse et Zombie ne semblaient pas a priori indispensables, celui d’un film comme La Colline a des yeux ne prêtait certainement pas le flan à la critique, le potentiel de l’histoire originale n’ayant jamais été transcendé à l’écran. Aja s’est donc retrouvé avec un boulevard créatif devant lui, d’autant plus qu’à l’instar d’un Florent Siri sur Otage, il a pu embarquer dans son trip hollywoodien ses plus fidèles collaborateurs, comme son scénariste Grégory Levasseur ou son chef opérateur Maxime Alexandre.

Ce qui frappe de prime abord dans le film d’Aja, c’est sa franchise. Cette Colline-là n’oublie jamais ses racines, celles du film d’horreur et du cinéma bis, et ce de sa scène d’ouverture bien énervée, qui annonce la couleur en nous présentant la famille de montagnards dégénérés dans ses basses œuvres jusqu’à son casting hautement sympathique qui aligne les B-vedettes typées (Ted Levine, Billy Drago, Kathleen Quinlan…). Mais en même temps, le film fait montre d’une belle capacité à prendre le genre au sérieux, tout d’abord par l’emploi d’une violence graphique extrême dont ne peut décemment pas se passer un vrai survival, et ensuite en y imprimant un traitement qui ne capitalise pas forcément sur ce qui a déjà été fait avant et qui affirme crânement le réel potentiel artistique d’une telle entreprise (malgré les bataillons de tâcherons qui ont peu à peu déprécié le genre au cours des dernières décennies). Photo soignée, décors à la fois réalistes et oppressants (un coin perdu d’Amérique reconstitué dans le désert marocain !), musique au rôle primordial (on y reviendra), scénario qui se permet d’être intelligent sans être démonstratif… Si la violence hardcore de Haute tension s’avérait être en léger décalage par rapport à un propos plutôt maladroit, ici, Aja maîtrise parfaitement sa narration et décuple la puissance de sa sauvagerie visuelle en l’inscrivant à l’intérieur de thématiques aussi discrètes que percutantes. La violence du peuple américain est ici abordée sans détours mais jamais envisagée à l’intérieur d’une dichotomie facile et moralisatrice opposant les barbares aux civilisés. En fait, elle est placée au cœur même de la famille de yankees moyens, où le père affirme haut et fort ses convictions républicaines devant le dégoût de son gendre pour les armes à feu. On ne dévoilera pas ici le destin des personnages mais sachez simplement qu’à l’instar d’Un justicier dans la ville et des Chiens de paille, la pulsion vengeresse et régressive ne viendra pas forcément de là où on l’attendait.

Sans une once d’humour, La Colline a des yeux malmène ses héros jusqu’aux frontières du soutenable, faisant se fissurer le cocon familial sous les coups de boutoir du refoulé, ici matérialisé dans la figure des rebuts de la civilisation et du progrès. Peu à peu, les grandes étendues sauvages filmées en Scope 35 mm (adios le 16 mm de Wes Craven, gage un peu trop facile d’authenticité esthétique) s’amenuisent, les ombres s’étendent, les cadres se resserrent, les axes de caméra se font plus agressifs… Et le projet enthousiasmant d’Aja de se dévoiler progressivement. là où ses confrères préfèrent le plus souvent envisager le survival sous l’angle unique d’un réalisme cradingue et dérangeant, le réalisateur français y applique en sus un traitement épique qui explose particulièrement dans la dernière partie de son film. Une ultime demi-heure d’une sauvagerie inouïe, où la musique quasi-héroïque du duo Tomandandy et le filmage iconique en diable d’Aja confèrent à la vendetta du héros un aspect galvanisant qui contraste insidieusement avec les débordements d’ultra-violence qui s’affichent à l’écran, renvoyant ainsi le spectateur à l’ambiguïté profonde du sentiment de vengeance, aussi moralement condamnable que viscéralement cathartique.

La copie qui sortira sur nos écrans fin juin (et sur les écrans américains dès le 10 mars) est la version coupée, le montage uncut étant destinée à l’exploitation en DVD (environ cinq minutes supplémentaires, composées essentiellement de rajouts gore et de quelques extensions de scènes). Pourtant, tel quel, La Colline a des yeux est déjà un monument de violence barbare, le découpage nous laissant largement le temps de voir les chairs ouvertes et les dégâts provoqués par les différents coups de hache et autres objets offensifs. Là encore, Aja ne cède en rien au style épileptique très en vogue dans les films d’horreur actuels (cf. The Descent, entre autres), refusant le spectacle d’une violence surdécoupée et du coup complètement désamorcée. Ici, l’horreur est omniprésente et protéiforme (psychologique, visuelle, sensitive…), mais surtout, elle est palpable, physique et donc terriblement choquante. A l’arrivée, La Colline a des yeux est sans doute l’un des meilleurs films d’horreur de ces dernières années, et il se trouve que c’est un Français d’à peine 27 ans qui l’a réalisé. Et nous, du coup, on attend avec une impatience non feinte son prochain opus, The Waiting, qui sera à nouveau une production Wes Craven et qui racontera les déboires d’une mère hantée par le fantôme de son enfant décédé. Chauffe Alexandre, chauffe !

Film à voir dans sa version intégrale et non censurée. Sinon ce n'est pas drôle lol. Bon je dois avouer que pour certains passages j'ai eu du mal mais le film en lui même est vraiment époustouflant d'horreur et de perversité. Je le recommande vivement si on veut avoir des frissons. 4/5

Parce que j'ai de meilleurs gout que toi, et de meilleurs gout que le spectateur moyen, tout simplement.
Un mec qui rigole pendant tout un film, déjà j'ai des doutes sur sa santé mentale, mais si en plus il s'agit de L'exorciste, il ni y a plus de doute, j'ai bien affaire à quelqu'un de pas tout à fait fini.

Avant de la ramener, M. Je-sais-tout-mieux-que-les-autres, sache que tout le monde n'a pas forcément le même avis que toi même en ayant vu les films que tu as cités.
Ainsi, L'Exorciste a beau avoir un statut de chef d'oeuvre, perso j'ai rit de bon coeur quasi pendant tout le film. Comme quoi !
Bref, plutôt que d'asséner comme une vérité que ce remake d'Aja est une merde, ce que je ne trouve absolument pas (bien plus brutal et malsain que la moyenne), qui plus est en prenant les autres de haut, dis-nous donc pourquoi.

OK. mais avant de la ramener regarde des films comme
-L'exorciste, SAW, Eden lake, Martyr, Hostel 2, Ring, Halloween, massacre Ă  la tronchoneuse, Shining, La malediction, etc.

Après tu pourras revenir posté. Tu verras que en matière de "meilleur film d'horreur" il y a du champs.

Ce remake de la "coliine". Non mais lol en terme d'horreur. Ce film est une merde !

Wes Craven a beau être meilleurs réalisateur qu'il y a 20-30 ans, ce remake est pourtant une merde. L'original de "La Colline a des yeux" 'était déjà pas terrible, ce remake n'apporte rien.

Je viens de le revoir et ce film est toujours aussi jouissif.
Surement le meilleur film d'horreur que j'ai jamais vu, du pur bonheur pendant 1h40.

Je n'y avais jamais penser mais il est vrai que la colline à des yeux s'inspire (sans trop le dire voir pas du tout) de la zone 51. En effet, cette zone situé en plein désert, présente sur aucune carte, sur lequel on y fait des expériences chimiques et radioactives mais surtout. La Zone 51 est une ancienne mine (les mines de Groom). C'est vrai que c'est pas mal trouvé en fait :)

Ce film est trop bien, voir parfait. Voilà pourquoi. Je m'en lasse pas, le scénario est de loin à la tête d'un chef d'oeuvre de longue allure, le jeu d'acteur parfait, les musiques sont d'envoutantes à angoissantes parfaitement adaptées aux situations, un bon mélange entre le film d'horreur à l'ancienne et celui d'aujourd'hui, l'ambiance prenante sur le thème du nucléaire, la tension est monstre et l'intrigue demeure. Un pur moment de plaisir, résultat 10/10

A voir et Ă  revoir !

Bye bye les héros principaux. On a le droit à une belle horreur qui je vous promets va vous dégoûtez mais en même temps va vous pousser à voir la suite.
L'original avait moins de moyen mais je le trouve plus violent dans le sens du réalisme et de la souffrance des personnes, dans les deux camps.
Une guerre épouvantable entre deux camps qui iront plus loin que personne ne l'aurait imaginé.

Franchement ce film est génial, les mutants nous renvoient à la noirceur de l'homme dans ce qu'il a de plus primitif, au fil de minutes on a qu'une envie, c'est qu'ils se fassent dézinguer, lentement si possible. Mais le scénario leur confère une certaine touche d'humanité via l'instinct maternel.

class anciennement aokijuper

Je l'ais vu en version non censuré.

class anciennement aokijuper

Je viens de le revoir et je le trouve toujours aussi réussi. glauque, ésthétique, gore et violent ce film est une boucherie mais également à la fois un film dramatique vraiment très triste, ce film est vraiment un excellent film. 4,5/5.

Un chef d'oeuvre. Une intrigue, du gore, de l'éffroi, j'ai adoré ce film et surtout aimé la scène au début quand Big Bob découvre la vérité sur les mutants! Mais malheureusement s'en suit pour lui. xD 5/5 rien à dire je le recommande un classique

un superbe film quest ce qu on peut dire rien aucun defaut tout est parfais
conseil regardais la version non censuré ;)